Moto, je t’aime, moi non plus.

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La moto est une passion toute particulière, souvent mal comprise de part sa dangerosité. Mais qu’est-ce qui nous pousse à en faire, malgré ceci ? Tel Carrie dans la série Sex and the City, je me suis mise à réfléchir à ce qui nous pousse à continuer.

Il y a des instants la vie ou nous nous sentons bien et celà nous aide à évacuer les soucis quotidiens, comme par exemple : un bon verre de vin entre amis tout en écoutant du Jamie Cullum ou bien les fesses sur la selle de sa moto, profitant du beau coucher de soleil pour faire des virolos au milieu de la nature. Je suis sûre que vous avez tous ressenti cette sensation de liberté, l’impression de flotter sur un nuage, comme si vous tombiez amoureux de l’instant présent.

Je pense que le motard est aussi un grand adolescent, car la moto donne souvent un sentiment d’indépendance, tant recherché par nos jeunes. Braver les interdits, pousser toujours plus loin l’adrénaline même aux mépris de sa propre vie. Cette passion poussée souvent à l’extrême, nous fait oublier toute raison.

Alors la moto est-elle un moyen de se donner une liberté ou simplement de se prouver que nous sommes capables d’être rebelles ?

Je pense surtout que tout comme l’amour, la moto nous fait faire bien des choses incompréhensibles, surtout pour les autres. Vive la passion et surtout la déraison !


J'ai trouvé ce petit article intéressant.

pas mal de vrai en effet.

Je revendique en tous cas la dernière phrase ...

matamor a écrit:

Je revendique en tous cas la dernière phrase ...

De quoi ?

"J'ai trouvé cet article intéressant "

Merci, c'est de moi !

OUI... la moto avant l'alcool, la drogue, le stress, la raison.
VIVE LA LIBERTE.

c'est d'une grande justesse

Je voulais pas avoir l'air de fayotter .........

fayot

Je me reconnais dans cette évocation :

"Je suis sûre que vous avez tous ressenti cette sensation de liberté, l’impression de flotter sur un nuage, comme si vous tombiez amoureux de l’instant présent."

Mais je ne partage pas tout :

"Braver les interdits, pousser toujours plus loin l’adrénaline même aux mépris de sa propre vie."

Même sous l'influence hormonale de mes jeunes années, je n'ai jamais vécu la moto de cette façon.